October COE pp. pp.
âme V Spp.p. V Sp.p. V Sp.p. V Sp.p.V Sp.p. V Sp.pp. V Sp.p. V Sp.p. V Sp.pp. V Sp.pp. V Sp.p.
October disproportion esprit âme V Sp.p. V Sp.p. «imagination» V Sp.p. V Spp.pp. V Sp.p.
âme utuifrui V Sp.pp. V Sp.p. XIVp. «Qui velut summum bonum laudat animae naturam, et tanquam malum naturam canis accusat, profecto et animam carnaliter appetit et carnem carnaliter fugit, quoniam id vanitate sentit humana, non veritate divina.»v Sp. Cf.p. libido sentiendi V Sp.p. V Sp.p. V Sp.p.
October... V Sp.p. V Sp.p. V Sp.p. V Sp.pp. V Spp.pp. pp. V Sp.pp. V Sp.p.
charité concupiscence V Sp.p. pp. V Sp.p. V Spp.p. nature Dictionnaire de Michel de Montaigne, publié sous la direction de Ph. Desan,Paris,Honoré Champion, ;N.Panichi,«naturenaturarisme»pp. SLB
October libido sentiendi libido sciendi libido dominandi corps chair divertissement SLB SLB corps esprit charitéslb espritchair passionsslb fausse image de la charitéslb Voir SLB SLB
...... gloire SLBp. SLB SLBp. SLB SLB rapport
October A B B B A mise B B A n n n B SLB pp. SLB
B B A B B B B A B B
October n A B B Cf. SLBSLB SLB
B «passions» B «vous y gagnerez en cette vie» SLB Voir SLB SLB
October «l espérance d une autre vie» B SLB BLS p. Lettre 6 à Mlle de Roannez, MES.,p.
... B Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies, MES.,p. SLB SLBbis.
October imagination V Sp.p. pp.
une vie voluptueuse et délicate Pascal, Pensées, éd. G. Ferreyrolles,Paris,LGF,«Le LivredePoche», Pascal, OEuvres complètes, éd.j.mesnard,tomes,paris,desclée de Brouwer MES Montaigne, Essais, éd. P. Villey, sousladirectionde V.L. Saulnier,Paris,PUF,«Quadrige», vol., V S SLB V Sp.pp. SLB
October La foi et la vie terrestre : l idée du bonheur chezpascal et Montaigne RÉSUMÉ Après avoir considéré de manière mathématique les profits réciproques que représentent l engagement pour l existence de Dieu et celui pour sa non-existence,blaise Pascal,dans le fragment des Pensées sur le «pari»,conclut que le premier choix est le plus intéressant : il apporterait au joueur,s il gagne,une vie «éternelle et infiniment heureuse». Or,ce joueur,qui est donc désormais un croyant,peut-il connaître le bonheur dès cette vie terrestre qui constitue sa situation actuelle? Et si c est le cas,de quel bonheur s agit-il? En effet,pour Pascal,les richesses,la santé ou la force,qui,selon lui,relèvent du corps humain infiniment moins valorisant que l esprit et la charité ne peuvent en aucun cas constituer le véritable bien. Ce rejet absolu du bonheur terrestre ne se retrouve en revanche pas chez Michel de Montaigne,qui se déclare pourtant un vrai chrétien. Ce dernier de fait respecte voire poursuit des valeurs qualifiées de périssables,comme la santé corporelle ou encore les plaisirs charnels. Mais comment expliquer cette différence d attitudes entre les deux penseurs? Afin de répondre à cette question,nous examinerons la relation entre la foi et les biens terrestres,en nous appuyant sur la conception que l un et l autre se font du bonheur. Mots-clefs: Blaise Pascal,Michel de Montaigne,bonheur